4 Commentaires

Je me disais qu'un jour, j'aimerai que quelqu'un écrive un bouquin dans le même style que la Dramaturgie de Yves Lavandier, mais plus pour la littérature : je crois que ta newsletter va devenir ce livre 🙏

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Merci Damien ! Très improbable que je me hisse à la hauteur d'Yves Lavandier, mais je donne tout, surtout ce qui m'intéresse et a pu m'aider à progresser à un moment.

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Bonjour,

Est-ce que c'est une bonne idée de finir une scène (ou un chapitre) sur un cliffhanger ? (sans le faire systématiquement).

Cela doit souvent augmenter le suspense donc la tension dramatique. Mais le risque, si ensuite on intercale une intrigue secondaire (ou quoi que ce soit d'autre), c'est que le lecteur soit frustré de ne pas avoir rapidement d'information sur la suite, et qu'il ne retienne pas, voir qu'il saute, certains passages pour arriver plus vite à ce qui le tient en haleine. Comment gérer cela ?

Merci !

Georges

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Hello Georges, ça peut être très efficace de finir sur un cliffhanger, surtout pour relancer une séquence un peu "molle" dramatiquement (plus contemplative, plus psychologique...).

Bien sûr, tout dépend du genre dans lequel vous écrivez.

Et le cliff doit être utilisé avec parcimonie, au risque de devenir mécanique et donc prévisible. Car la littérature, c'est aussi l'imitation de la vie par l'art, et la vie nous surprend.

Enfin, pour l'après-cliffhanger, le romancier Dan Brown suggère cette astuce : faire suivre la fin d'un chapitre en cliffhanger par un flashback. Cela créer un différentiel et une attente, qui frustre légèrement mais tient le lecteur dans la boucle. Charge à vous, auteur, de rendre ce flashback passionnant. Idéalement, si ce flashback dévoile un élément clé, il a tout lieu d'être, et le lecteur est doublement récompensé.

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